Cette création sort tout droit de la mer méditerranée, là où a grandi l’artiste. La base, qui est indépendante du poisson, est composée d’un arbre à came, de roulement à billes et d’un disque d’embrayage. La rascasse quant à elle, est formée à partir de ferrailles récupérées en local et destinées à être jetées : Rotules, tige filetée, écrous, boulons et autres pièces métalliques. Les nageoires sont faites à partir de couverts à poisson !
Une planète constituée de déchets métalliques recyclés…Cela peut-il être esthétique ? Dans cette création l’artiste s’est essayé à donner de la beauté à plusieurs objets délaissés qui au départ, n’étaient pas faits pour être beaux ensemble. De nombreuses pièces de cette sculpture en deux parties, sont issues du monde agricole.
Prêt à charger, ce rhinocéros dégage toute sa puissance : Ecrous, boulons, fer à béton, métal tordu et travaillé. Le nez est fait avec un maillon de chaine de moto.
Création composée de deux parties : Le socle est fait de roulements, roue de courroie et disque d’embrayage. Le casque est une accumulation de clés cassées, de boulons, d’écrous et de pièces de métal découpées et retravaillées. Beaucoup des pièces de ce casque, hommage aux Bobbys anglais, ont été récupérées sur un tracteur.
La dynamique de cette création fait oublier qu’elle est constituée de pièces de métal qui étaient destinées à la destruction : Fers à béton, clés plates, boulons, écrous, fer plat, tiges filetées. L’idée derrière cette composition est d’arriver à dégager de la féminité à partir de pièces industrielles brutes.
